Pour être heureux, il faut avoir souffert
Boris Cyrulnik, neuropsychiatre de renom, démontre neurologiquement que le bonheur n'est accessible que si l'on a souffert.
"Le bonheur et le malheur ne s'opposent pas, mais se complètent comme le jour et la nuit. Attachement et amour ne peuvent se développer que si nous avons connu la souffrance et le retour à la sécurité".
Lire l'article du magazine "Clé"